thèse

Le 8 septembre 1997, moi, Sophie Deborah MILLENET,  j'avais terminé la rédaction de ma thèse de doctorat de 450 pages en littérature comparée (mythologies comparées), rattachée au structuralisme. Elle englobait le monde des sciences et celui des arts, dans lesquels mes ancêtres s'étaient précédemment illustrés, tel le Professeur d'anatomie et célèbre chirurgien de l'œil Jean-Pierre MAUNOIR (1768-1861), et le poète Édouard TAVAN (1842-1919), pour ne citer qu'eux.

Ma thèse aboutissait à une découverte scientifique, soit la description de la Structure primordiale que j'ai nommée  c "complet", qui remet en cause les théories de plusieurs savants, dont celles de l'historien des religions et structuraliste français Georges DUMÉZIL (1898-1986).

Le système dumézilien à trois fonctions indo-européennes est ainsi définitivement abandonné, au profit d'un système à quatre fonctions universelles, issues d'une unité comprenant six éléments. L'Humanité primitive formée d'êtres doubles divisés en deux moitiés, et décrite par le philosophe grec PLATON  (en grec ancien:  Plátôn) dans "Le Banquet" (vers 385 avant notre ère), sous-tend mon nouveau système.

Le titre de ma thèse de doctorat est : "Apollon et l'alouette. Des Métamorphoses à la conjointure d'amour : Ovide modèle romanesque de Chrétien de Troyes". Comme il était d'usage en Suisse, mon sujet de thèse (commencée en automne 1994) a été déposé dans le registre de la Centrale des thèses en Allemagne, en 1995, sous le titre "Ovide et Chrétien de Troyes".

Or, l'université dans laquelle j'avais préparé cette thèse décida arbitrairement de ne pas me laisser la soutenir, et ce malgré des rapports très élogieux établis par certains membres de mon jury, qui confirmaient tout mon parcours d'étudiante brillante. Les autorités académiques avaient pourtant déjà validé le texte de ma conférence de soutenance, et placé dans les couloirs de la Faculté une affiche qui annonçait la date réservée pour cet événement.

Cette décision a été si soudaine et inattendue, que le professeur américain, membre de mon jury, a fait spécialement le déplacement des États-Unis, pensant être attendu pour ma soutenance ! L'université m'a ensuite demandé de rédiger un chapitre théorique supplémentaire de quelques pages, avec l'engagement qu'ainsi ma soutenance aurait lieu, mais cela n'a pas été le cas.

Ainsi privée de l' "imprimatur" et du diplôme de doctorat, ma thèse se heurta ensuite à des obstacles, lorsque je désirai en communiquer les résultats. Je reçus pourtant la marque d'intérêt de Claude LÉVI-STRAUSS (anthropologue, ethnologue et structuraliste français (1908-2009) qui, informé de mes travaux, m'écrivit qu'il attendait de lire ma thèse publiée.

Depuis 2014 (année de création de ce site), l'ouverture d'une page Web (plus précisément, d'un site internet de plusieurs pages !) permet de diffuser largement un savoir. Un éminent scientifique, décoré de la plus haute distinction dans sa discipline, m'y a encouragée. En le faisant, je me mets en accord avec la motivation fondamentale de mon activité de savante, soit le fait que les Idées sont un bien pour l'Humanité.

Actuellement, en 2020, ma découverte est aussi désormais publiée dans mon ouvrage "Apollon et l'alouette. La structure universelle des mythes" (parution en France en 2019, au mois de mars).